Bibliographie
· Je ne peux pas ne pas aimer, livre d'artiste, 2020
·
GPSamour
© revue GPS10 Poésie expérimentale,
édition Plaine
Page,
2017
·
Al
cœur boum boum
© collection
Les Oublies,
édition Plaine
Page, 2016
Cailloux © revue Insistance, 2015/2 (n°10)
·
Tous
azimut ©
revue Bacchanales - Maison de la
Poésie
Rhône-Alpes,
2013
·
Terre
d’enfants ©
Livret d’art, Le Réalgar éditions,
2012 (peintures de Ruta
Jusionyte)
·
Langue
de bois mort © revue Bacchanales -
Maison de la
Poésie Rhône-Alpes,
2011
·
Qui
es-tu pour prendre
mon secret ? © revue
Chroniques errantes et
critiques, édition de
l’agneau, 2010.
Collectifs
- L'Autre denrée, association d'artistes de vie et
d'art (Montpellier)
- Les Amoureuses, duo poésie + chant polyphonique
- EcritStudio ; collectif de
poètes travaillant
la composition du sonore et du poétique
ecritsstudio.free.fr/
- Poésunk ;
groupe de rock punk poésie
Articles
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Blandine Scelles travaille l'écriture; le corps, la langue poétique, le langage de la scène, de la musique, de la vidéo, la performance. Elle est formée en théâtre à l’école Jacques Lecoq (1992-1994).
Elle est comédienne pendant 7 années dans la compagnie Actuel Free Théâtre en résidence à Fresnes. Elle y mène aussi des ateliers pédagogiques dans des écoles spécialisées, maisons de retraite, hôpitaux psychiatriques, et à la prison.
En 1999, elle fonde avec Didier Calléja, la compagnie Koeurspurs ainsi que La Maison des Arts et Cultures Hybrides (MACH’Inante, Montreuil). Ils montent essentiellement des textes poétiques ; Voyages mescaliniens d’Henri Michaux, Le Chant de la carpe de Ghérasim Luca. Ils lisent toutes sortes de littératures dans le contexte de la musique improvisée Instants Chavirés Montreuil).
En 2002, Blandine Scelles rencontre Maud Robart, disciple de Grotowski, qui lui fait découvrir, par le chant sacré haïtien, une articulation du corps et de la voix. Elle se met alors à étudier diverses techniques vocales et musicales : chant lyrique, diphonique, yoga des sons, kinésiophonie (D. Bertrand), chant sacré indien (S. Dagar), poésie sonore, chants et danses d’Afrique (E. Wolliaston), percussions corporelles (L. Prével) et le TaïChi.
Au cours de résidences interdisciplinaires, Blandine Scelles s’associe à la démarche de plasticiens et découvre la performance. Elle construit des installations plastiques dans lesquelles elle improvise mouvements et sons qui ébauchent le récit d’une vie (La MACH’Inante, New York / Bowery Poetry Club, Berlin / Hau 3 pour le Symposium philosophie et performance).
En 2006, Les Koeurspurs sont accueillis par Ben Vautier dans le mouvement Fluxus pour leur Concert d’aspirateurs.
En 2008, elle quitte les Koeurspurs et monte Poésie verticale 12 de Juarroz à Orléans.
Beñat Achiary (chanteur de musique traditionnelle, de jazz et d’improvisation libre) l’invite à lire Bernard Manciet à la Maison de la Poésie à Paris (2009) et Michel Ducom (poète, Groupe Français d’Education Nouvelle) l’encourage à écrire et dire ses propres textes au festival d’Uzeste (2009-2010).
En 2009, elle écrit Entre deux (incertitudes) ; poème entrecroisant les élucubrations d’une particule élémentaire (physique quantique) et la parole acétique d’une femme traversant toute une vie. Cette création mêle poésie sonore, jeux de corps et vidéo. C'est le premier volet d'un diptyque.
Qui es-tu pour prendre mon secret ? est son premier texte publié aux Chroniques errantes et critiques, le père, 2010.
Silence ou Tout ce que je ne t'ai pas dit est sa deuxième pièce, deuxième volet du diptyque; écrit lors d’une résidence au Portugal. Ces poèmes donnent la parole à la Petite Sirène de la fin du conte d'Andersen. Une première version sera montrée à Anis Gras en mars 2011.
Elle fait des lectures de ses textes: Uzeste musical (Gironde), New Morning (Paris), Lavoir Moderne Parisien, Festival international de Poésie à la Maison de la Poésie Rhône-Alpes, chapiteau du Grand Parquet (Paris), La Guillotine (Montreuil), Halle Saint Pierre pour le Printemps des poètes (Paris), Galerie Schwab (Paris), au Théâtre Poème (Bruxelles), à la Fondation Taylor (Paris), au Vent se lève!(Paris), à la Maison du Citoyen (Fontenay-sous-bois)...
Elle pratique en continue la méditation, le piano, les massages d'auto-guérison, l'optimisme, différentes thérapies psychocorporelles (dont les constellations familiales), sa vie de maman et d'amoureuse.
En 2012, sort son Premier livret Poésie avec les peintures de Ruta Jusionyte: "Terre d'enfant" chez Le Réalgar éditions
En 2015, elle forme et déforme le groupe de poésie punk "Poésunk" avec Olivia Scemama (basse) et Cyril Havard (batterie). En 2016, sortie de "Al coeur boum boum", editions Plaine Page
En 2018, elle se lance en danse contemporaine et improvisation auprès de différents chorégraphes : Maïté Soler (KungFu danse et Butô), Mitia Fedotenko, Isabelle Saulle, Germana Civera.
2019 Création de Home ArtLib (performance en appartement) et Artlib'bar (performance dans les bars) + Performance sur la sexualité douce (M'aimes-tu?) 2020 Création du groupe Les amoureuses avec Laurence Moletta (chant polyphonique) pour le concert massage sonore Love Velouté à partir du texte Je ne peux pas ne pas aimer (La Chapelle Sète, Maison de la poésie d'Avignon)
2020-2021 Grace à une situation cocasse dite sanitaire, tout ce qui se joue en salle ne peut plus l'être. En appartement non plus. Blandine Scelles affronte la rue avec ses LOVE PANCARTES pertubations douces urbaines, "pouvez-vous me conseiller?",sur les marchés, places publiques... et les routes avec la LOVE ITINERANCE : parcourir de Montpellier à Grenoble en voiture de 10km en 10km en récupérant à chaque ville butoire des attestations "pour une libre circulation" et créer "les Réseaux de l'amour"
2021-2022 Formation en danse contemporaine et danse contact auprès de Yann Lheureux principalement (+ Sylvie Klinger, Laura Boudou +++) Reprise de la performance en appartement M'aimes tu? réintitulée On se découvre? (Grenoble, Sète, MOntpellier)
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